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MOSI

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"C’est important ce que vous faites : vous montrez aux gens que c'est normal d'avoir des
émotions, que c'est normal de vouloir crier."

Personne ne sait où mettre MØSI, mais tout le monde les trouve trop cool. En même
temps, leur musique est plutôt inclassable. La preuve : on les a vus ouvrir aussi bien pour
Kruger que Michel Cloup Duo ou des groupes de post-rock comme Tides Of Man et The
End Of The Ocean. Est-ce bien cohérent.
Quelque part entre Mano Solo et Coilguns, biberonnés aux Tool et consorts, les deux frères
s’affranchissent des références sans scrupules et explorent tout le spectre dynamique que
leurs instruments leur permettent. La poésie est sale, la voix est brute, les percussions
narratives. On navigue à vue entre 80 et 120 décibels, de clair-obscurs en contre-jours.

"De toute façon, ce sera punk si vous jouez dans une galerie d'art. Et ce sera arty même si
vous jouez dans un squat."

200 dates au compteur, les frangins jouent partout et ne se limitent pas aux café-concerts.
Une péniche à Liège, un atelier d'artiste à Bourges, sous un saule en Vendée ou un festival
à Toronto, on a affaire à deux vrais gars de la roulotte - en réalité un Kangoo.

"Je n'ai pas su si je me sentais bien ou triste, mais c'était trop chouette."

Façonnée par le surréalisme de Magritte, le décalage de Beckett ou la poésie d'Alessandro
Baricco, l'atmosphère d'un spectacle de MØSI laisse l'auditeur à fleur de peau.

Laissons le mot de la fin à un fan qui s'ignore : "Vous êtes une insulte à Jacques Brel."

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